LFSM / ALLONNES : EMILY LOIZEAU + CLAIRE DAYS + EAT-GIRLS
EMILY LOIZEAU
Après l’album « Icare » sorti en 2021 et une tournée triomphale qui aura duré près de 2 ans, Emily Loizeau sera de retour à l’automne 2024 avec son nouvel album.
Ce nouveau disque, prolongement naturel du précédent, a également été enregistré au Pays de Galles, sous la houlette du fameux réalisateur John Parish (PJ Harvey, Aldous Harding, Dominique A…) et avec ses musiciens de scène.
Des thématiques cette fois baignées d’espoir éperdu et déterminé, car l’autrice-compositrice nous appelle à ne pas abandonner la lumière, pour regarder dans les yeux et vaincre la noirceur, et nous soulever ensemble pour rendre ce monde meilleur.
CLAIRE DAYS
Claire days, c’est l’aventure menée par Claire autour d’une folk saturée, hybride, qui tend vers le rock indé et s’affranchit des genres. Elle sort un premier album Emotional territory (2022) co-réalisé avec l’artiste anglais Fink (dont elle est fan depuis l’adolescence) et accueilli très chaleureusement par médias et publics. Sa première tournée s’étire sur quasi deux années, avec des premières parties de Asgeir, Sigur Ros, Black Sea Dahu, Alela Diane, Herman Dune ou encore Safia Nolin et November Ultra.
Son prochain disque verra le jour en 2025. En attendant, Claire days présente anciens morceaux, nouveaux morceaux et toute nouvelle formule live à la rentrée 2024 – il faut s’attendre à de la folk, de la pop, de l’expérimental, des émotions, du tâtonnement, du vivant.
EAT-GIRLS
Sur scène, Amélie, Elisa et Maxence utilisent leurs trois voix, basse, guitare, synthétiseurs, ordinateur et petits objets pour réimaginer le matériel produit dans leurs enregistrements. eat-girls c’est un trio qui fabrique minutieusement de la musique dans leur appartement. Une musique qui traverse de nombreux genres entre pop, post-punk, minimal synth, kraut, dub,…et dont la destination est imprévisible : chaque note semble improvisée, chaque rythme est une surprise. Ce sont des chansons qui déroulent le fil de leurs intuitions et qui, à l’image d’un rêve, peignent des formes qu’on questionne encore et qui nous restent en tête.